Le C.A.P. St-Barnabé: intervenir auprès des itinérants

Pauvreté, itinérance et isolement

Le C.A.P. St-Barnabé: au cœur d’Hochelaga-Maisonneuve

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Le Carrefour Alimentation et Partage (C.A.P.) St-Barnabé vient en aide aux résidants d’Hochelaga-Maisonneuve depuis 1991. Ces gens doivent constamment se battre contre les problèmes qu’engendrent la pauvreté, l’isolement ou l’itinérance.

Anders Turgeon Dossiers Communautaire,

Outre les familles pauvres, le C.A.P. St-Barnabé vient en aide auprès de diverses clientèles marginalisées. «Nous sommes en première ligne pour aider les exclus: les itinérants, les toxicomanes et les prostituées», explique Jeannelle Bouffard, fondatrice, directrice et coordonnatrice de l’organisme.

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Offrir l’imaginaire en lecture aux enfants

14e édition de la campagne La lecture en cadeau

Offrir l’imaginaire aux enfants en lecture

Du 1er novembre au 31 décembre se tiendra la 14e édition de la campagne La lecture en cadeau de la Fondation pour l’alphabétisation. Cette campagne se charge de récolter des livres neufs pour les redistribuer aux enfants de milieux défavorisés dans le but de prévenir l’analphabétisme et le décrochage scolaire.

Anders Turgeon Dossiers DécrochageÉducationJeunes

Lutter contre l’analphabétisme juvénile

« Cherchant à mettre sur pied un projet rassembleur qui aurait un impact pour contrer  l’analphabétisme […], Sophie Labrecque, ancienne présidente-directrice générale de la Fondation, a eu l’idée originale de La lecture en cadeau.[1]» Voilà comment a débuté cette campagne qui a vu le jour lors de la crise du verglas en 1998 en collaboration avec différents acteurs du milieu de la littérature : auteurs, éditeurs, libraires, bibliothécaires, éducateurs et lecteurs.

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[1] Fondation pour l’alphabétisation. Enfants : La lecture en cadeau. Historique du programme,[http://www.fondationalphabetisation.org/enfants/la_lecture_en_cadeau/historique/] (page consultée le 26 octobre 2012).

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La démagogie tranquille de Joanne Marcotte

Faiblesse argumentaire de la libertarienne

Joanne Marcotte ou la démagogie tranquille de la droite

La personnalité médiatique de la droite québécoise Joanne Marcotte démontre une faiblesse argumentaire flagrante dans l’ensemble des billets de son blogue. Ceci est dû à son utilisation de la démagogie dans son argumentation.

Anders Turgeon Dossiers Société, Débat gauche-droite

Je tiens à dénoncer les propos de la co-fondatrice du Réseau Liberté-Québec, personnalité médiatique et blogueuse Joanne Marcotte. Son billet[1], publié sur son blogue dans la journée du 21 septembre, m’a amené à dénoncer l’ensemble de ses propos, toujours remplis de condescendance, de sophismes et de démagogie. Je me  suis également décidé à le faire suite à un échange de tweets avec elle sur le « simplisme ».

En premier lieu, avez-vous noté que Madame Marcotte est une adepte d’expressions et de mots passe-partout si chers à la droite tels que « le socialisme », « communistes », « liberté » et « la rue »? Cette utilisation d’un champ lexical éculé traduit une certaine volonté de tirer la couverture de la vertu et du « gros bon sens » vers la droite au détriment de la gauche. Les adeptes de cette droite politico-économique québécoise boivent ces vulgaires lignes rhétoriques qui produisent autant d’effet sur moi qu’une chronique de Richard Martineau.

En deuxième lieu, la stylistique du vocabulaire des billets de Madame Marcotte pallie mal une certaine pauvreté argumentaire dans l’ensemble de son blogue. Elle décroche aisément la palme des raisonnements simplistes. Contrairement à d’autres blogueurs, comme Pierre Duhamel et le blogueur David Gagnon (du blogue Antagoniste.net) qui prennent le soin d’étayer leurs arguments par des données effectives et vérifiables, la porte-parole du Réseau Liberté-Québec se contente d’aligner des sophismes et des mensonges du genre « c’est la rue qui mène ». Avec sa faiblesse argumentaire, elle ne rend pas service à ses confrères et consoeurs de la droite québécoise.

Finalement, je déplore que cette adepte du néolibéralisme qu’est Madame Marcotte rallie des gens avec des idées penchant davantage du côté de la « caisse » du Québec et du patronat que de l’humanisme du « modèle québécois ». Même si je partage son avis sur un élément, soit que l’État québécois mérite d’être transformé en profondeur, le Québec ne doit pas être revu et corrigé par les lentilles déformantes de la droite libertarienne.


[1] MARCOTTE, Joanne. « PQ-Nouveau : Jour 1 – La victoire de la rue! », 21 septembre 2012, [http://jomarcotte.wordpress.com/2012/09/21/pq-nouveau-jour-1-la-victoire-de-la-rue/] (consulté le 23 septembre 2012).

Itinérance, photographies et exposition

Des photos pour être solidaire des itinérants à Montréal

Les itinérants à Montréal

Corrid’Art, galerie créée pour les artistes féminines par Compagnie F, organise une exposition de photographies intitulée « Un regard solidaire sur l’Itinérance ». Cette exposition lève le voile sur le quotidien des itinérants et veut nous sensibiliser sur leur présence et leur vécu.

Anders Turgeon  Dossier Itinérance

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Lorsque nous nous déplaçons à travers Montréal, nous croisons des itinérants sur le coin d’une rue, devant un magasin ou dans le métro à l’occasion. La plupart du temps, nous ne faisons que peu ou pas attention à leur présence. Pourtant, ils font partie de notre société et vivent à proximité de nous.

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Le Bureau de consultation jeunesse se mobilise pour les jeunes

La place des jeunes

Mobilisation pour les jeunes avec le BCJ

En réaction à l’absence des jeunes dans les grands enjeux sociaux, le Bureau de consultation jeunesse (BCJ) se lance dans l’organisation d’un grand projet de mobilisation citoyenne pour la jeunesse à travers le Québec. L’organisme a également monté une exposition rassemblant des œuvres conçus par les jeunes qui témoignent de leurs talents artistiques et de leur volonté de s’impliquer dans la société.  

Anders Turgeon  Dossiers Jeunes, Société

À la suite d’une résolution adoptée par l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies (ONU) en 2010, 2011 a été désignée Année internationale de la jeunesse. Cette proclamation a été décrétée sous le thème « Dialogue et compréhension mutuelle ». Au Québec, cette initiative des Nations Unies n’a eu que peu d’effets puisque aucune action n’a été prévue pour les jeunes.

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